Dans un contexte de baisse de la consommation de vin en France, de campagnes d'arrachage de vignes pour palier la surproduction, et d'un réchauffement climatique de plus en plus impactant, le secteur viticole français n'est pas au mieux de sa forme.
Si les vignerons bio doivent aussi composer avec certains aspects de ce constat, ils se montrent plus sereins face au futur que leurs homologues du conventionnel. « Un chef d'entreprise est contraint de se projeter à long terme, et le bio renforce la confiance des vignerons envers l'avenir », assure . . .
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