Le potentiel est colossal. Si l’ensemble des sites de restauration collective du territoire respectaient les objectifs définis par la loi Egalim, c’est-à-dire si leurs achats alimentaires intégraient 50 % de produits durables dont 20 % de bio dans leurs menus, le volume d’affaires s’élèverait à près de 1,5 milliard d’euros pour les acteurs de la filière biologique, estime l’Agence Bio.
Encore loin des objectifs de la loi Egalim
La loi Egalim, promulguée en 2018, a fixé ces objectifs à l’horizon 2022. « On est encore loin du . . .
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