« Essoufflement », « coup d'arrêt », « décrochage », « panne de croissance », « crise d'adolescence », les qualificatifs visant à mettre des mots sur le retournement de tendance du marché bio en France en 2021 fleurissent de tous bords ces dernières semaines. Parmi les observateurs, adeptes pour certains du bio-bashing, la tentation de s'en réjouir ou encore du lancer du « je vous l'avais bien dit », est presque palpable. Pourquoi pas, c'est le jeu démocratique, auquel nous allons apporter notre petite pierre mais pas nécessairement dans le sens de ce que l'on peut lire de-ci . . .
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